Pourquoi APALA ? – Origines
Une multitude de solutions techniques en tout genre existent, tant complexes qu’inaccessibles, elles ne tiennent presque jamais compte de l’environnement. Le green-washing accentue l’effet pervers du danger que représente déjà la croissance, peu importe sa couleur. Nous vivons dans une monde fini et par soucis d’équité, devons nous en tenir là. Adapter toujours plus la planète à nos usages nous a conduit à une nouvelle ère. Le devoir moral nous astreint à la réalité de l’anthropocène.

 

Souvent plus éthiques, les alternatives se multiplient et se développent à grande vitesse. L’économie quaternaire est arrivée et annonce un changement de paradigme. L’énergie est à la révolution ce que la lymphe est à l’Homme, essentielle. Elle permet l’indépendance. Émancipatrice elle est inhérente à la notion de confort, produit de la liberté. Plaider pour l’autonomie énergétique, c’est vouloir se donner les moyens de sa liberté.

 

Les paysages ultra détériorés, atomisés, sont un des symboles de notre folie, dont les effets létaux s’accroissent à mesure que nos technologies s’affinent. Prenons pour preuve l’extraction des terres-rares, indispensables à la fabrication de tous les objets technologiques high-tech (écrans, ordinateurs, télévisions, portables…), des voitures hybrides/électriques mais surtout des aimants permanents présents dans les génératrices éoliennes. Le néodyme et le dysprosium augmentent leur puissance et leur longévité. Selon Jean-Marc NOLLET, ministre du développement durable et de la fonction publique du gouvernement Wallon de 2009 à 2014, de 0,5 à 1 tonne de terres rares est utilisée par mégawatt éolien. Le magazine scientifique du service publique ATHENA 277 affirme lui, que pour les aimants d’une turbine éolienne de 3MW, 2 tonnes de terres rares sont nécessaires. Il se trouve que l’extraction et le raffinage nécessaire rejettent des métaux lourds, de l’acide sulfurique ainsi que des éléments radioactifs tels que l’uranium et le thorium dans notre très cher environnement. D’après M. Su Bo, ex vice-ministe de l’Industrie et des Technologues de l’Information chinois, il faut injecter sept ou huit tonnes de sulfate d’ammonium dans le sol pour extraire une tonne d’oxyde. Les conséquences écologiques épouvantables de la production ont entraînés la plupart des pays à renoncer à leur extraction mais non à leur utilisation ! C’est ainsi que la Chine assure plus de 95 % de l’offre de terres-rares sur la planète et souhaiterait aujourd’hui ne plus assumer seule les conséquences écologiques d’une telle exploitation. La radioactivité mesurée dans les villages de Mongolie Intérieure proches de Baotou (région qui assure les 3/4 de la production de chine et donc quasiment mondiale) est de 32 fois supérieur à la normale (contre 14 à Tchernobyl). Cancers (70 % de mortalité), malformations à la naissance et chute de rendement des récoltes habitent désormais le quotidien de la région sacrifiée.

 

Beaucoup des nouvelles applications de ces terres-rares ont une finalité environnementale affichée, et par conséquent relèvent d’une responsabilité qui effectivement, leur fait défaut. Pouvons-nous continuer à nous équiper en nouvelles technologies, soit disant moins polluantes, plus efficaces où moins énergivores tout en cautionnant l’atomisation de régions éloignées, où devons nous trouver des solutions enfin soutenables ? Ne serait-ce pas irréaliste et inadapté de croire en un unique exutoire sacrificiel plutôt que de reconsidérer des solutions techniques émancipatrices en partageant un bon sens fédérateur ? Éthique et raison sont les maîtres-mots. Il en va de notre dignité. Nous nous voulons civilisés et cohabitons notre planète, mettons en œuvre les moyens d’y parvenir !

Même importé et suremballé, il vaut mieux manger végétal !

C’est sous ce titre un brin provocateur, qu’à été publié notre entretien lors de notre rencontre avec Le Magazine des Autres Possibles (MAP pour les intimes). Bien sûr, le mieux est d’éviter le plus possible les emballages et de privilégier la localité, mais pas envers et contre tout, c’est ce que nous allons voir ici…

Les actions efficaces pour réduire notre empreinte carbone

Informons sur les meilleures actions claires et compréhensibles pour encourager au plus possible à adopter un esprit d’écologiste efficace.

La défense de l’élevage quoi qu’il en coûte

Réponse aux arguments de défense de l’élevage spécifiquement formulés dans l’article de Frédéric Denhez publié dans Le Figaro en avril 2021.

Sécheresse: l’inéluctable recul de l’élevage

Signataires Ricardo Azambuja, Rennes School of Business (France) et Fundação Dom Cabral (Brésil) Gilles Belaud, professeur à l’Institut Agro en sciences de l’eau Noé Bugaud, étudiant en biologie Agnès Ducharne, chercheuse en hydrologie, Paris  Michel Duru, directeur...

L’élevage : un maximum d’impact pour un minimum d’apports

Les animaux dépendent des végétaux et non inversement, et ça, c’est une notion de base de l’écologie qui nous l’apprend : le niveau trophique.

Polémique artificielle contre des produits végétariens et véganes plus sains

Le dénigrement médiatique contre les produits transformés végétaux lutte contre leurs avancées sanitaires, écologiques et éthiques.

Révolutions animales

L’origine animale des pandémies !

Si nous ne changeons pas notre rapport aux autres animaux, nous n’éviterons pas de futures épidémies , avec toutes les conséquences que nous connaissons désormais.

Présenter la nouvelle transition alimentaire à travers la créativité qui découle du nouvel art culinaire brillant

Vite, la nouvelle transition alimentaire !

Au delà des préjugés sur les aliments transformés, nous proposons de prioriser les produits végétaux qui, s’ils sont transformés, représentent notre meilleur espoir pour la nécessaire nouvelle transition alimentaire.

Kaïros : le moment opportun de changer son alimentation

Souhaitons-nous allouer davantage de ressources à la gestion de crises épidémiques où préférerons-nous réorienter notre alimentation pour maximiser nos chances d’évitement ?

Questionner la place de l'élevage face à l'urgence climatique

L’énigme des experts climatiques face à l’urgence

Au travers les résultats des études du cabinet Carbone 4 ainsi que des études internationales d’ampleurs, nous tentons de démontrer que le curseur ne pointe délibérément pas vers la meilleure stratégie de réduction des émissions de GES.

7 Commentaires

  1. Can you be more specific about the content of your article? After reading it, I still have some doubts. Hope you can help me.

    Réponse
  2. Thanks for sharing. I read many of your blog posts, cool, your blog is very good.

    Réponse
  3. Your point of view caught my eye and was very interesting. Thanks. I have a question for you.

    Réponse
  4. I don’t think the title of your article matches the content lol. Just kidding, mainly because I had some doubts after reading the article.

    Réponse

Soumettre un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.